Superjail! est une série américaine que j'ai découvert il y a peu. Les différents épisodes proposent des scenarii très simple mais le tout est enrobé dans un emballage de gore et de psychédélisme.
Superjail est une prison qui se situe dans un volcan qui se situe dans un volcan. C'est une prison 'illegale' qui acceuille des criminels en tout genre. Le Gardien, à chaque épisode, a une nouvelle idée pour sa prison ce qui amène à des situations extraordinaires menant à de grandes scènes violentes opposant les prisonniers entre eux où contre une autre puissance.
Cette série m'a laissé perplexe mais j'ai adhéré dés le deuxième épisode. Le dessin est très détaillé et coloré.
Les personnages principaux:
Le gardien: Le Gardien est une sorte de Willy Wonka de la prison. Excentrique, il a créé Superjail et comme le monde n'était pas prêt pour accepter sa vision de la prison, il l'a conçu en toute illégalité. Amoureux de la gardienne Alice, il n'a que peu de considération pour les prisonniers ou l'argent qu'il dépense sans compter.
Jared: Jared est un ancien prisonnier que le Gardien a embauché pour lui servir de comptable. En dépression depuis 15 ans, ancien alcoolique, il stresse sans arrêt et est souvent la victime du Gardien. C'est le personnage avec le plus de bon sens.
Alice: La gardienne de la prison. Elle est en quelque sorte hermaphrodite (à moins que ce soit juste transgenre). Personne pas très sensible aux tendances au BDSM, elle prend très à cœur son travail. Grâce à sa force, elle réussit souvent à se sortir des situations causées par le Gardien.
Jailbot: Le robot du Gardien. Il assure toute sorte de fonctions mais est surtout chargé de capturer des prisonnier pour Superjail.
Il y a d'autres personnages secondaires comme le Docteur, les jumeaux (sortes d'extraterrestres squattant Superjail) et Jacknife, le prisonnier qui réussit à s'évader de Superjail pendant chaque épisode mais qui ouvre les épisodes en se faisant capturer par Jailbot.
Le générique change à chaque épisode, chacun comprenant de nouveaux paysages fantastiques. Car une des spécificités de Superjail! est la grande variété de créatures que l'on y trouve.
Un série, peut être pas pour tout le monde, mais que j'ai vraiment apprécié.
lundi 30 janvier 2012
mercredi 25 janvier 2012
Dessin: Avant et après
Voici un dessin d'animal, réalisé d’après un questionnaire que j'avais créer pour des amis.
Je suis content de voir une amélioration! Le dessin date de 2009 et le nouveau (le grand) du 1er Janvier.
C'est un petit lézard arboricol pouvant utiliser sa queue comme 3ème main.
mardi 24 janvier 2012
Le président mutant
Alors que j'allais à un concert pour contempler les sublimes Romanesques, j'ai découvert la vérité. Une seule personne est à même de diriger notre pays: j'ai nommé Xerak, le président mutant.
En l'écoutant je n'ai pu que rejoindre les rangs de ses chers politixiens.
Cette année n'hésitez pas: Votez Xerak!
En l'écoutant je n'ai pu que rejoindre les rangs de ses chers politixiens.
Cette année n'hésitez pas: Votez Xerak!
lundi 23 janvier 2012
Mythes et folklore: Kasabaké
Le Kasabaké est un Yokaï (comprenez esprit ou créature du folklore) japonais. Ce Yokaï est largement populaire et représenté. Malgré ses apparitions dans de nombreux films, on ne sait que peu de choses dessus.
On ne connait que deux choses sur lui: son apparence et le fait qu'il se déplace la nuit comme la plupart des yokaï(s?).
La description est facile: c'est un parapluie usé avec un œil et une langue pendante dont le manche est en fait une jambe.
Consultant mon très cher Dictionnaire sur ces créatures, à la page Kasabaké je ne trouve que peu d'informations sur le monstre, l'auteur décrivant d'autres yokaï parapluie tel que le Honekarakasa (la parapluie en os) et le parapluie fantôme.
Une idée folklorique japonaise indique qu'au bout de cent ans, les objets du quotidien s'animent et acquiert le pouvoir de métamorphose. Ces objets divers (sandales, bols) se réunissent pour se plaindre de leur traitement ou pour faire la fête. Le Kasabaké doit être un parapluie centenaire.
J'apprecie particulierement le design de ce yokaï dans le court métrage dont j'ai parlé dans mon article précédent, ceux ci alliant l'attitude grotesque du monstre à une allure plus horrifique. A vous d'en juger.
On ne connait que deux choses sur lui: son apparence et le fait qu'il se déplace la nuit comme la plupart des yokaï(s?).
La description est facile: c'est un parapluie usé avec un œil et une langue pendante dont le manche est en fait une jambe.
Consultant mon très cher Dictionnaire sur ces créatures, à la page Kasabaké je ne trouve que peu d'informations sur le monstre, l'auteur décrivant d'autres yokaï parapluie tel que le Honekarakasa (la parapluie en os) et le parapluie fantôme.
Une idée folklorique japonaise indique qu'au bout de cent ans, les objets du quotidien s'animent et acquiert le pouvoir de métamorphose. Ces objets divers (sandales, bols) se réunissent pour se plaindre de leur traitement ou pour faire la fête. Le Kasabaké doit être un parapluie centenaire.
J'apprecie particulierement le design de ce yokaï dans le court métrage dont j'ai parlé dans mon article précédent, ceux ci alliant l'attitude grotesque du monstre à une allure plus horrifique. A vous d'en juger.
dimanche 22 janvier 2012
Peur[s] du noir
Recemment, j'ai vu un ensemble de courts métrages de 2008 sur les thèmes du noir et de la peur (oui tout est déjà dans le titre). Au nombre de six, ces dessins animés proposent des techniques et histoires variées. A moi de vous les présenter dans leur ordre d'apparition.
Je ne pense pas qu'ils aient des titres aussi je me contenterai de faire un petit synopsis.
Le premier se divise en plusieurs parties insérées tout au long du film. Celui ci est assez énigmatique au niveau de l'histoire, celle ci étant imprégné de symboles. Le travail au crayon est magnifique et les niveaux de gris donne un aspect vraiment sombre et sale à l'histoire.
Un homme promène quatre molosse avec difficulté. Au fur et à mesure de sa promenade, il lâche un chien sur une personne qui se fait déchiqueter. Les victimes sont un enfant, un jeune homme et une femme (qui elle se fait déchiqueter et violer). Ce court métrage sombre est très particulier et fait office d'étrange intermède.
Le méchant me rappelle les diables bien habillés des contes populaires.
Le deuxième raconte l'histoire d'un jeune homme refermé sur lui même qui va rencontrer l'amour. Si c'est l’idylle au depart, la personnalité de la jeune femme va changer quand elle sera sous l'influence d'un insecte étrange ramassé par le garçon des années auparavant et vivant dans son lit.
Si j'aime moins le style graphique, j’apprécie l'histoire d'horreur fantastique sur le thème de l'insecte (d'ailleurs vraiment étrange).
Le troisième fait aussi office d’intermède. Sur un fond de formes changeantes, l'actrice Nicole Garcia évoque toutes sortes de peurs que subit l'homme. Bof.
Le quatrième fait honneur aux films de fantômes japonais. Une petite fille emménage dans un village avec ses parents. Les enfants de l'école se moquent d'elle en lui disant que le fantôme du samouraï Hajime va la couper en morceau. Ce dessin animé est l'un des meilleurs et choque vraiment le spectateur sans pour autant être sanglant. On notera l'apparition de Yokaï!
Le cinquième rappelle ce genre d'histoires arrivant dans les villages, le genre d'histoire pas croyable, aux allures de légende et pourtant s'étant bien passé. Oui c'est un peu flou. L'histoire en elle même est intéressante mais je n'ai pas autant apprécié que les autres. Un homme se remémore des souvenir de vacances pendant lesquelles un monstre dévorait les villageois.
Le dernier et pas le moindre est un véritable film d'horreur. Un homme s'abrite d'une tempete de neige dans une vieille bâtisse. L'ennui c'est qu'il fait noir, vraiment très noir. On ne voit presque rien mais on entend, on suit les pas à tâtons du héros et on prend peur avec lui. En effet la maison ne semble pas vraiment déserte...
Des courts métrages vraiment sympathiques et divertissants. A voir!
Je ne pense pas qu'ils aient des titres aussi je me contenterai de faire un petit synopsis.
Le premier se divise en plusieurs parties insérées tout au long du film. Celui ci est assez énigmatique au niveau de l'histoire, celle ci étant imprégné de symboles. Le travail au crayon est magnifique et les niveaux de gris donne un aspect vraiment sombre et sale à l'histoire.
Un homme promène quatre molosse avec difficulté. Au fur et à mesure de sa promenade, il lâche un chien sur une personne qui se fait déchiqueter. Les victimes sont un enfant, un jeune homme et une femme (qui elle se fait déchiqueter et violer). Ce court métrage sombre est très particulier et fait office d'étrange intermède.
Le méchant me rappelle les diables bien habillés des contes populaires.
Le deuxième raconte l'histoire d'un jeune homme refermé sur lui même qui va rencontrer l'amour. Si c'est l’idylle au depart, la personnalité de la jeune femme va changer quand elle sera sous l'influence d'un insecte étrange ramassé par le garçon des années auparavant et vivant dans son lit.
Si j'aime moins le style graphique, j’apprécie l'histoire d'horreur fantastique sur le thème de l'insecte (d'ailleurs vraiment étrange).
Le troisième fait aussi office d’intermède. Sur un fond de formes changeantes, l'actrice Nicole Garcia évoque toutes sortes de peurs que subit l'homme. Bof.
Le quatrième fait honneur aux films de fantômes japonais. Une petite fille emménage dans un village avec ses parents. Les enfants de l'école se moquent d'elle en lui disant que le fantôme du samouraï Hajime va la couper en morceau. Ce dessin animé est l'un des meilleurs et choque vraiment le spectateur sans pour autant être sanglant. On notera l'apparition de Yokaï!
Le cinquième rappelle ce genre d'histoires arrivant dans les villages, le genre d'histoire pas croyable, aux allures de légende et pourtant s'étant bien passé. Oui c'est un peu flou. L'histoire en elle même est intéressante mais je n'ai pas autant apprécié que les autres. Un homme se remémore des souvenir de vacances pendant lesquelles un monstre dévorait les villageois.
Le dernier et pas le moindre est un véritable film d'horreur. Un homme s'abrite d'une tempete de neige dans une vieille bâtisse. L'ennui c'est qu'il fait noir, vraiment très noir. On ne voit presque rien mais on entend, on suit les pas à tâtons du héros et on prend peur avec lui. En effet la maison ne semble pas vraiment déserte...
Des courts métrages vraiment sympathiques et divertissants. A voir!
Le Maledicteur est de retour!
Aprés un grand moment d'absence, Le Maledicteur est de retour!
En consultant le taux de fréquentation du blog, j'ai été surpris, si environ 50 personnes par jour le consulte je peux m'estimer heureux. Évidement la fréquentation tourne sur un ou deux articles mais bon.
Je reçois aussi quelques commentaires et je remercie ceux qui les ont posté.
Donc voila, je vais essayer de reprendre un rythme correct pour mes lecteurs.
Merci à tous et à toutes!
En consultant le taux de fréquentation du blog, j'ai été surpris, si environ 50 personnes par jour le consulte je peux m'estimer heureux. Évidement la fréquentation tourne sur un ou deux articles mais bon.
Je reçois aussi quelques commentaires et je remercie ceux qui les ont posté.
Donc voila, je vais essayer de reprendre un rythme correct pour mes lecteurs.
Merci à tous et à toutes!
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